Java - Pépètes

j'etais encore un enfant quand on s est rencontré
j ai mis mon adolescence a comprendre combien jt aimais
le jour où jt ai roulé ma première galoche
tu m as tapé dans l oeil avant kj't'ai dans la poche

depuis ma vie srésume a course poursuite
chaque fois quje tente de t'éfleurer dis moi pourquoi tu prends la fuite
avec toi, ca va , ca vient
sans toi jsuis un vaurien,
en avoir pour son toit j aimerai tant
d ailleurs le temps see est do toi
do chagrin j en ai gros sur la patate
jcroque de toi sauf quand tu craque
j ai les bourses qui s'rétractent
ta courbe croissante m enchante
mais ta chute de reins me donne des vertiges et des crampes

t es la personne la plus ouverte, tu connais pas dfrontière, tu parles toutes les langues et sait briser les barrières
snob
la pauvreté te fait horreur
je t offrirai tous les parfums, toi qui n as pas d'odeur

tu n'fais pas l'bonheur
procure do plaisir
et plus jte désire et plus tu m'fais courrir
j'te tire mon chapeau et tu m en fais baver des ronds d'pièce

je t'aime autant kj'te déteste


t'es fraiche et bien roulée pépète
tout lmonde te court après
j arrive toujours le dernier
tu mfais tourner la tête
arrête de jouer à cache cache ou jfinirai par te coffrer

t'es fraiche et bien roulée pépète
tout lmonde te court après
j arrive toujours le dernier
tu mfais tourner la tête
arrête de jouer à cache cache ou jfinirai par te coffrer


arrete, jsuis franc j en veux pas qu'à ton écu poupée
quand apprendras-tu à te poser ?

ne me quitte pas
ya paraît-il des placements fertiles donnant plus de blé qu'un meilleur avril,
je frai un domaine ou tu seras reine, ou tu seras loi
et même, si ce domaine existe déjà
imprévisible
soudain visible,
d autres t on pris pour cible
revient dans mes bras
pour toi je serai crédible

au bal je t ai invité a ma table
mais tu m as snobbé pour aller danser avec un notable

pendant kjme faisais biaiser
d autres avait déjà appris a savoir laiser

au début j'étais ronger par la jalousie
et puis j ai bien vite compris ktu nfrai jamais le bonheur d autrui
toutes ces femmes font rêver mais dans lfond ya rien
meme pas le papriki, ktu fond dans leur main

a peine ils tombent , tu lorgne déjà sur les voisins
tu les rends possessifs, jaloux, radins et mesquins

t es partie a la conquête do monde entier
et lmonde entier a succombé a tes charmes de papiers
aujourd'hui le monde entier est a tes pieds mais t es plus kjamais malheureuse comme les blés

t étais fraiche et bien roulée pepete,
maintenant t es fade et fardée
tu donnes le bras a des riches pépète mais t es plus kjamais
malheureuse comme les blés

Written by:
ERWAN LOIC YANN SEGUILLON, FRANCOIS XAVIER BOSSARD

Publisher:
Lyrics © Universal Music Publishing Group

Lyrics powered by Lyric Find

Hawaï Hawaï