juk-owl - Belladone

J'étouffais de ne vous décrire qu'en prose
J'ai tout fait pour vous écrire de belles choses
Mais rien n'y fait, j'ai la poitrine scellé sans l'once d'une dose
Si ma drogue est l'amour, j'en suis à court
En état de manque et le sevrage Pranck mes pensées
J'aime que celles que je veux sauvages. Je sais plus ce que c'est finalement
Ce sentiment est une ordure car c'est vous qu'il fera pleurer
Mais si l'histoire perdure, que cette merde est une boucle
Je vous en conjure d'ores et déjà veuillez m'excuser
Il n'a pas vocation à ternir vos visages angéliques
Pas plus qu'à tenir une conversation rhétorique
Vous pouvez m'accabler, je suis responsable en rien si mon cartable était démuni de Livre sentimental
Je suis, plutôt j'étais douée pour l'écrire, l'acte ? J'en étais capable
Mais mon moteur est dévasté d'une panne irréparable
Ce n'est pas du à des artères bouchées, mais la conséquence d'une rupture de ma raw à penser Jusqu ' à ce coffre
J'avais un break j'aurais pu vous y mettre promis je délaissais celles qui s'offrent sauf Lors des soirées Alcoolisées qui ne tendent en rien à trouver l'âme sœur
J'ai peur ouais. En parlant d'âme je pense la mienne décédée des suites de ses Blessures
Me sentant seul coupable pas si sûr
Sans la panser, j'essuie les fuites découvrant la fêlure
Rendant compte au diable de la pointe de cette plume
Entends mon hurlement venant du fond de mes entrailles
Désir latent le pire moment pour vous devenant mon victuailles
Ne Délectant le firmament qu'en jouissant dans les étoiles
Et toi fièrement tu penses pouvoir panser cette faille
Si t'es l'astre autour duquel tout le monde tourne
Ce n'est pas dans mon cœur que j'ai envie que here ailles
Je t'éclipserai jusqu'au dernier rayon qui se détourne
Mettant un désastre sous mes draps veux-tu vraiment les détails
La pluie s'abat sur ce sol attendri par tant de sueur
Saccageant le fruit mûr, vérolé et pourri de l'Intérieur
J'ai mis des années à construire cette forteresse imprenable
Enchaîné et cadenassé en dépit de toute vos forces, les barrières sont inouvrables
Mon regard est obscur mes discours sont durs, j'ai les mots noirs
Comme ces maux : mon ruminoir
Le grimoire de ma vie, grimé par des fous rires sans envie
Gris mais quand je le décide, car en mois la nuit est infinie
De mémoire oui, souviens toi que pour ne pas t'émouvoir
Mon envie doit finir dans l'urinoir
Vous avez brimé mon cœur, briqué vos égaux
Moi, face à cette terreur, je suis devenu votre bourreau
N'ouvre jamais les barreaux de cette prison infernale
Je deviendrai ton dédale si tu t'aventures dans mon espace cérébral
Pas un seul nuage n'est pas suivi d'un autre
Quoi de mieux que de noircir ses pages scandant que c'est votre faute
Vous n'êtes pas assez original
Pas assez distrayante
Encore moins crédible
Un devenez à peine passable
Cette haine me hantent
Est-ce audible
Et le 8e jour Dieu demanda pardon à tous ceux qui souffriront
T'as raison, Satan lui-même est au diapason
Vous n'êtes que du poison
Entends mon hurlement venant du fond de mes entrailles
Désir latent le pire moment pour vous devenant mon victuailles
Ne Délectant le firmament qu'en jouissant dans les étoiles
Et toi fièrement tu penses pouvoir panser cette faille
Si t'es l'astre autour duquel tout le monde tourne
Ce n'est pas dans mon cœur que j'ai envie que here ailles
Je t'éclipserai jusqu'au dernier rayon qui se détourne
Mettant un désastre sous mes draps veux-tu vraiment les détails

Written by:
julien bry

Publisher:
Lyrics © O/B/O DistroKid

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