juk-owl - Venus Versus Vampire

Tu m'as dit: pourvu que tes yeux vacillent à vie Quand tu me vois
Plonge en moi de gauche à droite sans donner d'avis non Ne choisis pas
Jamais l'on ne m'a contemplé, entière, comme tu l'as fait
J'aurai dû me contenter d'effleurer tes lèvres au gout sucrées
Mais j'ai chaviré sans excuse (sans excuse) dans l'océan salé de la profondeur de ta peine
Et tu as changé, comme Méduse (comme méduse): gisant pétrifié, mon cœur en pierre
Épris du piège en mer d'un ton de tentation émis par la sirène
Je brûle un cierge à Homer: de son temps tous étaient démuni de smartphone
Le son de sa voix m'a envoutée: la belle est-elle sorcière
Pardon ! pose cette poupée vaudou, enlève ce sal sort
Tu es cette femme qui fait pâlir Vénus: divinement jolie
Cette faille qui me fait écrire, ma muse: mortellement sexy
Toutes tes courbes sont délice, personnes ne saurait me contredire
Surtout les fous ayant tous les vices mais moi, je deviendrai vampire
Ton corps est à mes mains ce que l'aimant est au fer
J'ai eu tort d'y croire en vain et si l'amour est enfer
Bien fort sont les coups de reins, au pire l'amant est offert
Qu'importe si tu me quittes demain, mon âme est trop fière
Je t'ai trompé cent-trente fois malgré nos fous ébats
Je suis partagé entre toi et mes syntaxes: partouse ou pas
Ces vers dictés que tu avales par douze tu vois
Avoues tu as compté les syllabes: jalouse ou quoi
Tu as du mal à comprendre à quoi se résume cette insolence
Tu es infernale, tu vas redescendre? sinon assume ton indifférence
Tu es cette femme qui fait pâlir Vénus: divinement jolie jolie
Cette faille qui me fait écrire, ma muse: mortellement sexy sexy
Toutes tes courbes sont délice, personnes ne saurait me contredire
Surtout les fous ayant tous les vices mais moi, je deviendrai vampire
mais moi je deviendrai vampire
Et puisque ce poème t'est directement adressé
Je vais cesser de feindre la haine mais dire la vérité
De tous ces monstres (ces monstres) que j'ai cités
Tu n'en es pas l'once (pas l'once) mais bien l'opposée
Tu es un ange gardien et m'a remise sur pied
Tu ne me changes en rien, tu mérites un chéri, un vrai
La seule fois où tu as pactisé avec le diable
C'est sous ces draps où nous brisions les lattes instables
Lorsque nos cœurs ne faisaient qu'un
Et que nous jouissions d'un même entrain jouissions d'un même entrain
Je pleure à te haïr au plus loin de mon être
J'ai peur de te dire qu'auprès de toi je veux renaitre
Si je devais résumer ces deux années près de toi
Je m'excuserai de ma vulgarité ces mots sont aux abonnés n'est-ce pas
Ce fut merveilleux, j'ai autant aimé te faire rire que te faire l'amour
Trop heureux: il y a des sentiments que j'ai dû bannir comme te faire la cour
Je pleure à te haïr mais je ne sais te détester
Il est l'heure de partir ouais, j't'oublierai jamais
J't'oublierai jamais
Tu es cette femme qui fait pâlir Vénus: divinement jolie
Cette faille qui me fait écrire, ma muse: mortellement sexy
Toutes tes courbes sont délice, personnes ne saurait me contredire
Surtout les fous ayant tous les vices mais moi, je deviendrai vampire

Written by:
julien bry

Publisher:
Lyrics © O/B/O DistroKid

Lyrics powered by Lyric Find