juk-owl - Enfant prodige

Allons parents de la patrie
Les jours trop noirs sont de sortie
Contre vous, enfant éplorés
La sonnette ne fait que sonner
La sonnette ne fait que sonner
Entendez-vous leur cri du cœur
Bourreau
Cracher tout leur malheur
Qui viennent jusque à vos oreilles
Entendez vos chaires vous implorer
Aux armes père et mère
Sauvez cette jeunesse
Pleurons pleurons ceux qui nous quittent
Eduquons pour plus jamais de fuite
Je condamnent la violence d'adolescent qui inconsciemment
Casse des cerveaux des siens sans défense différents sans référent
S'apparentant par des parents consentants faute de temps
Transpirant le sel D'yeux
Vous êtes leur seul Dieu
Décimant sans pansement les pensées plantée
Dans ce ciment amianté trahissant leur confiance
Quand géniteur conspirant ne Saisissent et encensent
Leur fils forceur frappeur moqueur
Prétextant qu'il ne ferait pas de mal à un des leurs
Cerveau s'éteint sous la colère
Frénésie meurtrière
J'abat les mots je couche les verts
J'accuse les mères et pères
J'ai mal, ne crois pas ce qu'a dit Molière
Pendant la récré j'suis tombé à l'école hier
Si la grosse proportion sort tout droit d'une fiction
Tous ne sont pas des malades imaginaires
Car d'autres ne disent rien mais se lèvent zombifiés
Déambulent nonchalants dans vos corridors
Incrédules comme l'innocent dans le couloir de la mort
C'est dur fils, mais tu verras on s'y fait
Aller prend ton petit déj, ton goûter et ta corde
Si tu peux avant de rentrer ce soir passe te pendre
Allez dépêche-toi de te descendre
Tu as un crâne à fendre il ne va pas t'attendre
Billet tout droit pour l'enfer
Hâte toi vite de sauter t'es tellement important
Comment tu fais pour te rater
Je t'aime mais je te condamnent
Car j'entends pas ton silence de cœur en panne
Car j'entends pas ton silence qui me semble normal
Cerveau s'éteint sous la colère
Frénésie meurtrière
J'abat les mots je couche les verts
J'accuse les mères et pères
Arrêtez de croire que les vôtres sont prodiges
Quand le sablier de leurs victimes se fige
Alors qu'il est la somme de vos sentiments
Ce sont des enfants qui croquent la vie à pleines dents
Cette pomme est passé par Grimhilde, représentant une rampa
Sous verre de Rhum dépassé par ce crime Hideux, je monte un rempart
J'écris sous couvert qu'homme au regard vitreux, ne comprends pas
Tendez l'oreille comme un amour qu'en retour blanche ne ressent pas
Ben ouais
Je lis chaque jour, les statuts de colère de tous les parents
Qui râlent et fustigent les abus d'un chère gouvernement
Jette leur gosses devant le graal cette tablette
Pour avoir eux-mêmes la paix devant leurs écrans
Le défaut d'Apple achète toi des capotes
Si t'es pas prêt d'aimer et donner d'ton temps
En érection devant BFM quand ils détractent nos dirigeants
Mais sont pas foutu le foie leur cul devant leur putain l' ordinateur
Pour voir que dans leur maison, tendre fils fait une dépression
Se dédouanent en fixant le ministère de l'éducation
Ces mêmes parents témoins de la déchéance juvénile
Scandent que notre monde part en vrille
Mettant ça sur le dos de la plus haute notoriété
CES mêmes parents, twists battu pour que Cess fessé
Pour que maitre et maitresse n'aient plus aucune autorité
Taille leur compétences car à 4 ans, bébé ne sait pas faire ces lacets
Vous avez oubliés d'être modèle! c'est pour ça que nos fils meurent
Je m'en bas les couilles de la polémique, moi sur ce texte j'pleure
Tu peux m'bannir, même me signaler si tu penses que j'abuse
Immature de merde ! je le dit haut et fort! j't'accuse
Cerveau s'éteint sous la colère
Frénésie meurtrière
J'abat les mots je couche les verts
J'accuse les mères et pères

Written by:
julien bry

Publisher:
Lyrics © O/B/O DistroKid

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