LE FORESTIER MAXIME - LES JOURS MEILLEURS

A courir du Pacifique à l'Inde, on voulait quoi
REFRAIN :
On voyait partout des sardines
Alignées dans d'l'huile de moteurs
Fallait donc qu'on couse à nos jean's
Des fils de couleurs
On était nés sur des ruines
The Times where changin
On pouvait planter des fleurs
On voulait juste des jours meilleurs
J'entends les mélodies grises
Et toutes ces voix qui disent
Ils viendront plus
J'entends les fontaines de pleurs
J'entends gémir les choeurs
Des si j'avais su
Si j'avais pu
Des si j'avais eu moins peur
J'entends grossir les ventres
Et fumer les cigares
Ca fait la différence entre
Ancien adolescent et futur vieillard
J'entends grossir les flingues
Et fumer les mémoires
Pendant qu'une bande de dingues
Au fond d'leurs idées vont m'arrêter l'histoire
AU REFRAIN.....
J'en ai trouvé qui s'amènent
Ils s'envolent, ils t'emmènent
Et tu t'en vas
Tiré par trente six planeurs
J'en ai trouvé qui rodent
Au fond des nuits chaudes
Au fond d'un lit
Du tropique à l'équateur
J'en ai trouvé qui passent
En travers de moi
Un ouragan qui casse
Un grand pan d'habitudes et puis qui s'en va
J'ai l'impression d'voir une cible
Emerger du brouillard
D'avoir pensé l'impossible
Et dans un soupir du temps l'apercevoir.
Même si j'vois encore des sardines
Alignées dans l'huile de moteurs
Il m'reste un couplet d'Imagine
Qui m'emmène ailleurs
Juste les jours meilleurs

Written by:
Jean pierre SABART, Maxime LE FORESTIER

Publisher:
Lyrics © COINCIDENCES

Lyrics powered by Lyric Find

LE FORESTIER MAXIME

View Profile